Quels animaux sont principalement présents dans les activités de médiation animale en structure et institution ?
Les animaux présents dans les activités de médiation en déplacement au sein des établissements.
B/ Quelles espèces ? Les besoins en fonction des animaux.
Toujours selon le recensement 2021 de la Fondation A.P. Sommer, les actions de médiation canine et équine sont majoritaires dans les interventions.
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Les chiens sont présents dans 51% des actions de médiation animale. Quand il s’agit de personnes âgées, les chiens sont présents dans 78,5% des actions de médiation animale.
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Les chevaux (23%) et les ânes (9%) sont cités dans un tiers des réponses. Ces interventions se déroulent autant à l’extérieur qu’à l’intérieur des structures et établissements de bénéficiaires et nécessitent la présence à la fois du personnel encadrant et d’un professionnel qualifié pour travailler avec les animaux concernés. Bien que les séances de médiation par l’équidé soient rarement guidées par le personnel de structure, la connaissance approfondie des pratiques de médiation et de l’équidé peut être essentielle pour le personnel encadrant pour suivre les actions menées. La formation du personnel permettant de mieux assister les séances avec l’intervenant, ainsi que d’assurer la gestion, le suivi et l’évaluation des différentes interventions avec les bénéficiaires.
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Pour le reste (constituant 18% des réponses) : les animaux de ferme, lapins, rongeurs et volatiles ont également intégré les activités de médiation animale depuis maintenant plus de 10 ans. Principalement présents pour d'autres types de bénéficiaires (personnes handicapées, en difficultés sociales, détenues, enfants, adolescents), le panel d’animaux intervenants est désormais beaucoup plus varié. Cette diversité coïncide avec un besoin de renouvellement des activités, ce qui conduit à une plus grande hétérogénéité et accroît l’efficacité des interventions. Les projets d’animaux mascottes, de poulaillers participatifs ou de mini-fermes d’animation intégrés aux structures et gérés en collaboration sont de plus en plus fréquents dans les établissements réalisant de l’accueil. Il est donc essentiel de former le personnel sur ces différentes espèces animales pour garantir le bon déroulement des projets et l’implication des bénéficiaires, afin de réaliser des séances de médiation par l’animal.
En conclusion, les professionnels des secteurs médico-sociaux, sanitaires et éducatifs ont donc surtout besoin de connaissances accrues concernant les interventions de médiation impliquant les chiens et les nouveaux animaux de compagnie (NAC) pour assurer le bon déroulement des séances au sein de leur structure. La médiation équines étant davantage portée par les centres équestres accueillant les structures mais pouvant intéresser le personnel encadrant chargé du projet d’accompagnement des groupes.
Les chiens sont présents dans 51% des actions de médiation animale. Quand il s’agit de personnes âgées, les chiens sont présents dans 78,5% des actions de médiation animale.
Les chevaux (23%) et les ânes (9%) sont cités dans un tiers des réponses. Ces interventions se déroulent autant à l’extérieur qu’à l’intérieur des structures et établissements de bénéficiaires et nécessitent la présence à la fois du personnel encadrant et d’un professionnel qualifié pour travailler avec les animaux concernés. Bien que les séances de médiation par l’équidé soient rarement guidées par le personnel de structure, la connaissance approfondie des pratiques de médiation et de l’équidé peut être essentielle pour le personnel encadrant pour suivre les actions menées. La formation du personnel permettant de mieux assister les séances avec l’intervenant, ainsi que d’assurer la gestion, le suivi et l’évaluation des différentes interventions avec les bénéficiaires.
Pour le reste (constituant 18% des réponses) : les animaux de ferme, lapins, rongeurs et volatiles ont également intégré les activités de médiation animale depuis maintenant plus de 10 ans. Principalement présents pour d'autres types de bénéficiaires (personnes handicapées, en difficultés sociales, détenues, enfants, adolescents), le panel d’animaux intervenants est désormais beaucoup plus varié. Cette diversité coïncide avec un besoin de renouvellement des activités, ce qui conduit à une plus grande hétérogénéité et accroît l’efficacité des interventions. Les projets d’animaux mascottes, de poulaillers participatifs ou de mini-fermes d’animation intégrés aux structures et gérés en collaboration sont de plus en plus fréquents dans les établissements réalisant de l’accueil. Il est donc essentiel de former le personnel sur ces différentes espèces animales pour garantir le bon déroulement des projets et l’implication des bénéficiaires, afin de réaliser des séances de médiation par l’animal.
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